Les finances de la commune sont saines, l’endettement peu élevé.
déi Lénk est depuis toujours en faveur d’un service public fort et efficace, et soutient par conséquent explicitement la politique d’engagement de personnel compétent; déi Lénk estime qu’un bon travail mérite une bonne rémunération; pour cette raison, en ce qui concerne la future convention collective de travail des salariés des 18 communes du Sud du pays, déi Lénk s’opposent résolument aux bourgmestres CSV et Déi Gréng qui veulent diminuer les salaires initiaux des salariés nouvellement engagés; déi Lénk espère que les bourgmestres LSAP résisteront à ces tentatives régressives, et signeront enfin – pour la première fois depuis 2009 – une convention collective de progrès social.
déi Lénk soutient également la politique sociale (Service local de l’emploi, CIGL, Service à l’égalité des chances, soutien aux réfugiés et Office social) et la politique culturelle de la majorité : les dépenses en faveur des activités culturelles conduisent d’une part à un large éventail de manifestations culturelles intéressantes offertes aux habitants et d’autre part à un soutien économique important pour les artistes luxembourgeois et le commerce local.
Si néanmoins déi Lénk a voté contre le budget proposé, c’est essentiellement à cause de la politique frileuse et peu porteuse d’avenir du conseil échevinal en matière de politique du logement : actuellement, Dudelange compte environ 0,5 % de logements sociaux, ce qui est largement, largement insuffisant (à titre de comparaison : même Neuilly, commune près de Paris connue pour ses habitants riches– ex bourgmestre : Nicolas Sarkozy – compte 10 % de logements sociaux, donc 20 fois plus ! que Dudelange) (voir plus loin motion de dL en faveur d’un plan d’investissement logements).